dimanche 6 octobre 2013

Dimanche de lendemain de Nuit Blanche

Aujourd'hui, que feront les parisiens ? 

Profiteront-ils de ce jour traditionnellement consacré au repos, tradition chrétienne reprise par la république laique, et iront-ils faire du sport, ou prier Dieu avant de profiter de leur famille ? 

Pas forcément. Dans un pays qui compte 4,5% de catholiques (1) et ou un mariage sur deux s'achève en divorce, il est à parier que messe et famille n'est pas un programme généralisé. 

Par contre, nous serons content de pouvoir bénéficier d'appareils électriques qui fonctionnent (l'approvisionnement énergétique tourne H24), de trouver des marchés ou des Franprix ouverts, de savoir que les pompiers veillent, de pouvoir se faire livrer une pizza ou d'aller au cinéma, bref de ne pas vivre dans une ville morte le dimanche. 

Les socialistes, de gauche comme de droite, ils sont vraiment comiques quand ils affirment, sans rire, que des acquis sociaux issus d'un autre monde, celui du cauchemar dirigiste qui n'a jamais dit son dernier mot, sont immuables. La vérité est que les gens votent avec leurs pieds, et à voir les chiffres de fréquentation des commerces le dimanche, on imagine qu'une ville qui aspire à vivre aussi le dimanche est une demande des parisiens. 
Question : quand est ce que les socialistes vont cesser de vivre dans leur monde imaginaire, pour prendre les choses comme elles sont, à savoir : diverses, en fonction des aspirations et possibilités de chacun ?

Bon dimanche à tous, quoi que vous fassiez !

Et souvenons-nous du fait que les hypocrites qui prônent les 35 heures ou la retraite à 60 ans sont souvent à titre perso au delà des limites qu'ils souhaitent pour les autres.

1 commentaire:

  1. On voit pourtant tous les dimanches des socialistes se prostituer sur les plateaux TV alors qu'ils devraient être avec leurs familles.

    RépondreSupprimer